Grâce à l’aide précieuse de Philippe Barbeau et de Laurent Charbonnier, je voulais réaliser un de mes rêves d’enfant : enregistrer la sensation très forte ressentie, lorsque nous sommes à l’affût en forêt au début de l’automne.
Puisque je testais le nouveau Soundfield ST 450, c’était pour moi l’occasion rêvée d’essayer de battre en brèche une des légendes urbaines qui entourent les prises de son ambisoniques : la profondeur de champ. Car une position théorique (assez couramment admise en France) part du postulat que les micros coïncidents seraient bien moins performants que des signaux décorélés pour restituer des sons lointains et donner une grande profondeur de champ. L’acoustique exceptionnelle des prairies choisies par Philippe allaient nous servir de banc d’essai pour découvrir si la théorie est équivalente à la pratique.
Nous avons vu arriver dans les locaux de Tapages, 2 modèles du ST 450 et 3 versions différentes de préamplis. Les tests se sont déroulés sur 3 mois ; en plus de la forêt, quelques courageux camarades m’ayant suivi dans mes promenades urbaines …
Il me semble évident qu’un jour, nous arrêterons de penser que la planète son est plate et que nous pouvons rendre compte d’une réalité complexe, en utilisant uniquement le plan horizontal.
ou : Peut-on enregistrer des ambiances de qualité quand on est fauché ?
L'article complet
Au cours d’un stage de formation à la prise de son d'ambiances,...
http://revues.mshparisnord.org/rfim/index.php?id=272
http://revues.mshparisnord.org/rfim/index.php?id=325
n° 4 - automne 2014>
Du preneur de son au marcheur sensible
Jean-Marc L’Hotel
octobre 2014
Résumé | Index | Plan | Texte | Bibliographie | Notes | Citation | Auteur | Version PDF | a | A
Résumés
Français
Résumé
Contrairement à l’idée communément admise ; que nous façonnons nos outils selon...