ou : Peut-on enregistrer des ambiances de qualité quand on est fauché ?
L’article complet
Au cours d’un stage de formation à la prise de son d’ambiances, nous nous sommes posés la question :
Existe-t-il des solutions « low-cost » qualitativement acceptables ?
La réponse a été :
Oui, si nous acceptons un certain nombre de désagréments.
Oui, si nous acceptons de ne pas réussir un bon enregistrement à chaque fois.
Oui, si nous prêtons attention à quelques petits détails.
Après tout, c’est rarement l’appareil qui fait la qualité d’une photo.
Pour le moment, les contraintes d’utilisation semblent : l’ergonomie, la protection face au vent, les bruits de manipulation.
La prise de son d’ambiances, n’est pas une science exacte.
Disons que parfois, elle se rapproche plus de la sociologie, voire de la psychanalyse que de la mesure. On ne prend jamais assez en compte les présupposés culturels et affectifs qui sous-tendent notre « goût » en matière sonore.
Bref, en prenant le problème dans un autre sens (pas forcément l’autre bout), dans la lignée du magnifique travail de Bernard Lagnel, (qui travaille lui pour la radio),
http://www.duanrevig.com/excel/SATIS%20FISM%202012%20Web%20correct.pdf
nous avons mis au point un dispositif qui semble plutôt adapté aux canons actuels du son à l’image.